"Nous serons dans la rue samedi", pour manifester et demander "la libération des otages, la fin des massacres" commis à Gaza et "la fin de la colonisation", affirme l'élue du Val-de-Marne.
Si la réduction des énergies fossiles est une nécessité environnementale, elle suscite aussi une certaine forme d'hostilité auprès d'une part de l'électorat. Les partis populistes, opposés aux mesures climatiques contraignantes, tentent d'en tirer profit.
À un peu plus de six mois des élections européennes - qui auront lieu en juin prochain - les écologistes entrent officiellement en campagne avec le premier meeting, samedi, à Paris, de Marie Toussaint, sur fond de "backlash" anti-écolo.